TFPP : le cas du Tercian.
- Extrait de la transcription d‘un rassemblement clandestin qui s’est déroulé en Europe.
Jules est sous un traitement pharmacologique reconnu: la cyamémazine, aussi connu sous le nom de Tercian. Jules, mon Jules, ne sait pas ce qui l’attend ! En effet, après quelques mois d’utilisation, le jeune homme remarque la formation de deux boules sous chacun de ses tétons, qui grossissent quotidiennement, pour à terme ressembler à de véritables glandes mammaires féminines. Le jeune “homme” est horrifié. Aussi normale soit sa réaction, il est très loin de pouvoir ne serait-ce que commencer à conceptualiser les tenants et les aboutissants de sa situation. Et pour cause, le savoir que je vais vous donner aujourd’hui, il ne l’avait pas. Ce jeune autiste est l’une des nombreuses victimes du phénomène abordé dans ce billet: la Transition Forcée par Pouvoir Psychiatrique.
Ce qui vient d’être raconté n’est pas un incident fortuit lié aux effets secondaires du traitement, mais un acte d’agression délibéré comparable au vitriolage. Je répète :
Ce qui vient d’être raconté n’est pas un incident fortuit lié aux effets secondaires du traitement, mais un acte d’agression délibéré comparable au vitriolage. Le coupable ? Le psychiatre chargé de Jules, me direz-vous. Hélas, le plan dans lequel nous évoluons est beaucoup plus mesquin que ça. Le médecin n’est en réalité que l’intermédiaire entre deux types bien différents d’aliénés. Essayons de rembobiner jusqu’à la source du problème. Qui a élaboré le médicament et choisi l’excipient (les recherches montrent que c’est ce dernier qui est responsable de ce que vit notre “garçon”) ? Le laboratoire. Mais il n’est qu’un élément d’un groupe plus large: l’industrie pharmaceutique. Mais qu’a-t-elle à gagner de cette ignominie ? Strictement rien. Et c’est bien pour ça qu’il faut prendre encore plus de recul. Qui contrôle directement et/ou indirectement les industries ? Les élites, les ultra-riches. Et qui est connu pour ses fétiches morbides et sa fascination impure pour les jeunes et les enfants, les faisant souffrir pour leur plaisir sexuel ? Les élites, les ultra-riches. Une fois que l’on prend de la hauteur, le tableau se dessine de lui-même.
Un cercle obscur prend plaisir à féminiser nos jeunes fils, ou à l’inverse, masculiniser nos jeunes filles. Un autre exemple est celui des corticoïdes, qui sont littéralement des stéroïdes, et sont prescrits à tout va dans les cliniques médicales. Ils choisissent notre destin par le pouvoir de leur influence illimitée. Peut-être n’est-ce pas sexuel, peut-être est-ce simplement une moquerie de plus lancée à nos pauvres familles écrasées par bien des maux. Après tout, ils peuvent se le permettre. Merci de votre écoute, et soyons préservés.